Signatur |
Wien ÖStA HHStA, Staatskanzlei, Kongressakten
Kart. 24
Fasz. 44 (alt)
IX/24, 35–37, 40–43
Wien ÖStA HHStA, Staatskanzlei, Kongressakten
Kart. 24
Fasz. 44 (alt)
IX/3–12, 25–33
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Datenbeschreibung |
Wien
ÖStA
HHStA, Staatskanzlei, Kongressakten
Kart. 24
Fasz. 44 (alt)
IX/24, 35–37, 40–43
Circulaire final (Endfassung)
Lithographie
Das Schlusszirkular liegt mehrfach ein: Konzept, von
Gentz
korrigiert, fol. IX/3–12;
handschriftlich von
Gentz
,
fol. IX/25–33; lithographierte Schlussfassung fol. IX/24 und 35–37, sowie fol.
IX/40–43; deutsche Übersetzung fol. IX/14–23. Beiliegend kurzes
Begleitschreiben an das diplomatische Personal (fol. IX/38), das folgende
Passage enthält: Il nous reste à ajouter une courte explication. Avant de
quitter l’Espagne, les Agens des Cours d’Autriche, de Russie
et de Prusse ont ordre de notifier au Ministère Espagnol qu’à moins que l’état
actuel des choses ne change complètement, que le Roi ne
soit remis en pleine liberté et qu’Il ne reçoive le pouvoir de s’entourer des
plus fidèles et des plus éclairés de Ses sujets pour donner à
l’Espagne les lois que réclament ses véritables intérêts
et ses vœux légitimes, les Cours de Vienne,
de
St
Saint
Petersbourg et de Berlin ont résolu de rompre toute relation diplomatique avec le
Gouvernement de fait séant à Madrid.
Anonyme Hand
Weitere anonyme Hand
Friedrich Gentz
Nikolaus Wacken
Anonyme Hand mit Bleistift
Anonyme Hand mit Rotstift
Metternich
Verona
14.
Dezember 1822
Wien
ÖStA
HHStA, Staatskanzlei, Kongressakten
Kart. 24
Fasz. 44 (alt)
IX/3–12, 25–33
Circulaire final (Konzept)
Lithographie und Konzept
Das Konzept liegt mehrfach ein: Konzept, von
Gentz
korrigiert, fol. IX/3–12;
handschriftlich von
Gentz
,
fol. IX/25–33. Vermerk von anderer Hand auf fol. IX/3r:
NB
Nota Bene
: n’a pas été expédié. Beiliegend auch kurzes Begleitschreiben an
das diplomatische Personal (fol. IX/38), das folgende Passage enthält: Il nous
reste à ajouter une courte explication. Avant de quitter
l’Espagne, les Agens des Cours d’Autriche, de Russie et
de Prusse ont ordre de notifier au Ministère Espagnol qu’à moins que l’état
actuel des choses ne change complètement, que le Roi ne
soit remis en pleine liberté et qu’Il ne reçoive le pouvoir de s’entourer des
plus fidèles et des plus éclairés de Ses sujets pour donner à
l’Espagne les lois que réclament ses véritables intérêts
et ses vœux légitimes, les Cours de Vienne,
de
St
Saint
Petersbourg et de Berlin ont résolu de rompre toute relation diplomatique avec le
Gouvernement de fait séant à Madrid.
Verona
Circulaire finale
Angeberg, Congrès, Bd. III, S. 1817–1818
(unvollständig);
BFSP Bd. 10 (1822/23), S.
921–925;
Diplomatisches Archiv/Archive
diplomatique, Bd. 3, S. 538–544;
Grewe, Fontes, S.
125–130;
Martens, Noveau Recueil, Bd. 6, S.
195–201;
Meyer, Staats-Acten, S.
291–296.
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